Retrouvez l'actualité sur chute de saddam hussein avec Tendance Ouest
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Contactez-nousLes politiciens négocient la formation d'un nouveau gouvernement en Irak, où les manifestations contre le pouvoir et son parrain iranien se poursuivent pour réclamer la mise à bas de l'ensemble du système actuel.
Le Parlement a accepté dimanche la démission du gouvernement d'Adel Abdel Mahdi dans un Irak en deuil, y compris dans les régions sunnites jusqu'ici à l'écart de la contestation, alors que les violences ont fait un nouveau mort à Bagdad.
Trois manifestants ont été tués dimanche dans le sud de l'Irak et des dizaines blessés par les forces de l'ordre qui tiraient dans le centre de Bagdad devenu un champ de bataille, la mobilisation se maintenant malgré le risque d'un "bain de sang".
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Contactez-nousLa plus haute autorité chiite d'Irak a mis en garde contre les ingérences étrangères dans la contestation populaire entrée vendredi dans son deuxième mois, qui réclame toujours "la chute du régime" en dépit des promesses de réforme des dirigeants.
La Zone verte de Bagdad, inaccessible à la population irakienne pendant 16 ans, a rouvert début juin, signe de l'amélioration de la situation sécuritaire. Celle de Kaboul, avec ses blocs de béton armé de six mètres de haut, s'étend au contraire toujours plus face aux menaces d'attentats.
Les marais d'Irak, asséchés par Saddam Hussein, se sont depuis refait une santé et attirent de nouveau des visiteurs friands de balades en barque en pleine nature, misant sur l'écotourisme pour redevenir le jardin d'Eden de Mésopotamie.
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Contactez-nousLe groupe Etat islamique (EI) a laissé derrière lui plus de 200 charniers dans les régions d'Irak qu'il a tenues de 2014 à 2017, a annoncé mardi l'ONU, appelant à en extraire des preuves des crimes jihadistes et apporter des réponses aux familles de disparus.
Les chrétiens d'Orient, dont le Pape a dit samedi craindre l'effacement de la présence dans une région où ils sont enracinés depuis les débuts du christianisme, sont des communautés minoritaires, confrontées à des conflits régionaux et à des attaques jihadistes.
Les tractations politiques se poursuivent mercredi en Irak, où l'Iran voisin tente de renforcer son influence en limitant le futur rôle de Moqtada Sadr, le vainqueur des législatives qui s'est récemment rapproché de l'Arabie saoudite, grand ennemi de Téhéran.
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Contactez-nousLes Irakiens ont créé la surprise en plaçant lundi en tête des législatives, selon des résultats encore partiels, deux listes anti-système, loin devant le Premier ministre Haider al-Abadi, pourtant crédité d'un large soutien international et de la récente victoire face aux jihadistes.
Les Irakiens votaient samedi pour décider si le Premier ministre Haider al-Abadi, parvenu en 2014 à son poste grâce un accord tacite entre les Etats-Unis et l'Iran, resterait aux manettes après l'avoir emporté sur les jihadistes, qui menaçaient l'existence du pays.
Près de 24,5 millions d'Irakiens élisaient samedi un nouveau Parlement et beaucoup affichaient leur désir de changement de leur élite politique pour remettre sur pied le pays en lambeaux après trois ans de guerre contre le groupe Etat islamique (EI).
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Contactez-nousPrès de 24,5 millions d'Irakiens sont appelés à élire samedi un nouveau Parlement, dont la tâche principale sera de superviser la reconstruction d'un pays en lambeaux après trois ans de guerre contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI).
Les premières législatives en Irak depuis la victoire sur le groupe Etat islamique (EI) se tiennent samedi dans un contexte inédit: les chiites sont divisés mais donnés gagnant, les Kurdes risquent de perdre leur rôle pivot et les sunnites sont marginalisés.
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