Retrouvez l'actualité sur Christophe Castaner avec Tendance Ouest | Page 21
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDeux jours après la fronde des "Insoumis" lors des perquisitions, le temps des questions: Jean-Luc Mélenchon était interrogé jeudi par la police dans les enquêtes sur ses comptes de campagne présidentielle et sur les assistants d'eurodéputés de son parti, assurant qu'il répondrait "dans le détail".
Deux jours après des perquisitions houleuses visant La France insoumise, son leader Jean-Luc Mélenchon doit être entendu jeudi par les policiers en charge des enquêtes sur ses comptes de campagne présidentielle et sur les assistants d'eurodéputés de son parti.
La réponse de la justice n'a pas tardé: une enquête pour "menaces" et "violences" sur des policiers et des magistrats a été ouverte mercredi au lendemain de perquisitions mouvementées au siège de la France insoumise (LFI) et chez son leader Jean-Luc Mélenchon.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousAccusé par certains d'arrogance et très bas dans les sondages, Emmanuel Macron a assuré mardi, après l'annonce d'un remaniement ministériel, entendre "les critiques", assurant toutefois qu'il n'y aura "ni tournant ni changement de cap" de sa politique.
La France insoumise et son leader Jean-Luc Mélenchon ont été perquisitionnés mardi matin dans le cadre d'enquêtes sur des emplois présumés fictifs de parlementaires européens et sur les comptes de campagne de l'ex-candidat, qui a dénoncé une "énorme opération de police politique", le jour du remaniement.
En quête d'un "second souffle", l'Elysée a procédé mardi au premier remaniement d'ampleur du quinquennat avec huit nouveaux membres, dont Christophe Castaner à l'Intérieur, mais sans véritable coup d'éclat.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousJean-Luc Mélenchon a dénoncé une "énorme opération de police politique" après les perquisitions qui ont eu lieu mardi matin à son domicile ainsi qu'aux sièges de La France insoumise et du Parti de gauche.
En quête d'un "second souffle", l'Elysée a procédé mardi au premier remaniement d'ampleur du quinquennat avec huit nouveaux membres, dont Christophe Castaner à l'Intérieur.
Christophe Castaner a été nommé mardi ministre de l'Intérieur en remplacement de Gérard Collomb dans le cadre d'un large remaniement de l'équipe gouvernementale, "dont le mandat politique reste le même", a annoncé l'Elysée.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousChristophe Castaner a été nommé mardi ministre de l'Intérieur en remplacement de Gérard Collomb et sera épaulé par le patron du renseignement Laurent Nuñez, désigné secrétaire d'Etat, a annoncé l'Elysée.
L'attente aura été longue : après deux semaines de discussions et de supputations, l'Élysée doit annoncer mardi un gouvernement remanié, censé apporter un "second souffle" au quinquennat d'Emmanuel Macron, très bas dans les sondages après un été et une rentrée chaotiques.
Patienter. Jusqu'à quand ? La longue attente se poursuivait samedi autour du remaniement attendu au gouvernement, au risque de créer parfois une certaine lassitude onze jours après la démission du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEmmanuel Macron, de plus en plus assailli par l'opposition au fur et à mesure que le remaniement s'éternise, a revendiqué mercredi de "prendre le temps" d'organiser ce mouvement qui concernera plusieurs ministères, et démenti toute dissension au sommet de l'Etat.
Certains l'espéraient, d'autres le redoutaient, tous l'ont encore attendu en vain mardi. Le remaniement du gouvernement d'Edouard Philippe est à présent guetté mercredi, jour de Conseil des ministres.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous