Retrouvez l'actualité sur campements de fortune avec Tendance Ouest
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Contactez-nousL'assaut décisif contre l'ultime poche du groupe Etat islamique (EI) en Syrie a repris, le délai donné à l'organisation pour la "reddition" de ses combattants ayant expiré, ont annoncé dimanche les forces antijihadistes soutenues par une coalition internationale emmenée par Washington.
Les derniers jihadistes du groupe Etat islamique (EI) étaient repliés vendredi dans un campement au bord d'une rivière dans l'est de la Syrie, où ils sont assiégés par des forces soutenues par Washington qui s'apprêtent à leur livrer une ultime bataille.
Les secours tentaient jeudi d'identifier les victimes des incendies qui ont fait au moins 59 morts en Californie grâce à des échantillons d'ADN fournis par des proches alors qu'environ 300 personnes sont toujours portées disparues.
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Contactez-nousLes violences qui ont poussé des centaines de milliers de Rohingyas à fuir la Birmanie sont "inexcusables", a affirmé mercredi le vice-président américain Mike Pence à la dirigeante birmane Aung San Suu Kyi, en marge d'un sommet à Singapour.
L'ONU "n'a pas le droit d'interférer" dans les affaires birmanes, a affirmé lundi le chef de l'armée Min Aung Hlaing, que les Nations Unies souhaitent voir poursuivre pour le "génocide" des musulmans rohingyas.
Six militaires ont été blessés dimanche, dont deux grièvement, lors d'une explosion probablement due à des réchauds au gaz dans un campement sauvage au coeur du bois de Vincennes, près de Paris, a-t-on appris de source policière.
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Contactez-nousDes enquêteurs de l'ONU ont demandé mardi que l'armée birmane, encore toute puissante malgré l'avènement d'un gouvernement civil, soit exclue de la vie politique, exhortant au limogeage de ses chefs impliqués dans le "génocide" à l'encontre des musulmans rohingyas.
La dirigeante birmane Aung San Suu Kyi a défendu jeudi l'emprisonnement de deux journalistes de Reuters après leur enquête sur un massacre de musulmans rohingyas par l'armée de son pays, mais elle a concédé que la crise globale, qualifiée de génocide par l'ONU, aurait pu être "mieux gérée".
Des enquêteurs de l'ONU ont demandé lundi que la justice internationale poursuive le chef de l'armée birmane et cinq autres hauts gradés pour "génocide", "crimes contre l'humanité" et "crimes de guerre" à l'encontre des musulmans rohingyas.
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Contactez-nousDes enquêteurs de l'ONU ont demandé lundi que la justice internationale poursuive le chef de l'armée birmane et cinq autres hauts gradés pour "génocide", "crimes contre l'humanité" et "crimes de guerre" à l'encontre des musulmans rohingyas.
"On ne regrette rien, on a fait ce qu'on devait faire", déclare Edson Sanchez, devant les débris d'un campement de migrants vénézuéliens détruit à Pacaraima le week-end dernier par une explosion de colère de la population de cette ville frontalière brésilienne.
Le chef de l'armée birmane et 12 autres haut gradés responsables d'une "offensive systématique et orchestrée" contre les musulmans rohingyas, doivent être poursuivis pour crimes contre l'Humanité, a accusé mercredi Amnesty international, qui demande la saisine de la Cour pénale internationale.
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