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Contactez-nousPlus de 30 personnes ont été tuées dimanche et plus de 40 blessées dans le nord-est du Nigeria dans un triple attentat-suicide contre des supporters de foot attribué à Boko Haram.
Le comptage des voix a commencé samedi soir au Nigeria, dans un calme relatif, malgré seize personnes tuées dans des violences et des bureaux de vote saccagés dans quelques Etats et le pays devrait connaître son nouveau président dans les prochains jours.
Les Nigérians se rendaient aux urnes samedi pour élire notamment leur nouveau président, dans une course serrée et tendue entre le chef de l'Etat sortant et un ancien vice-président, malgré des cafouillages d'organisation et des menaces sur la sécurité dans plusieurs points du pays.
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Contactez-nousLes bureaux de vote ont ouvert au Nigeria, après un report inopiné d'une semaine, pour accueillir quelque 72,8 millions d'électeurs qui choisiront leur président au cours d'un scrutin serré entre les deux favoris, le sortant Muhammadu Buhari et l'opposant Atiku Abubakar.
Une deuxième employée de la Croix-Rouge internationale enlevée par Boko Haram a été tuée par le groupe jihadiste dans le nord-est du Nigeria en l'espace d'un mois, "un acte de cruauté abject", s'est indigné mardi le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
Les jihadistes présumés du groupe nigérian Boko Haram ont utilisé des fillettes pour perpétrer des attentats suicide suivis d'attaques à la grenade qui ont fait au moins 31 morts dans le nord-est du Nigeria, a indiqué à l'AFP un responsable local.
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Contactez-nousMubi, ville du nord-est du Nigeria a connu mardi la "pire attaque" de son histoire, faisant des dizaines de morts selon des témoins, au lendemain de la visite du président nigérian à la Washington où il a remercié Donald Trump pour son aide contre Boko Haram.
Quatre jours après l'attaque d'une école à Datchi, la plus grande confusion régnait dans cette ville du nord-est du Nigeria, où des heurts ont éclaté entre forces de l'ordre et habitants, toujours sans nouvelles des dizaines de jeunes filles portées disparues.
La plus grande confusion régnait jeudi à Dapchi, dans le nord-est du Nigeria, où des heurts ont éclaté entre forces de l'ordre et habitants, qui réclamaient des nouvelles des dizaines de jeunes filles toujours portées disparues, trois jours après une attaque de Boko Haram.
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Contactez-nousLes familles des jeunes filles portées disparues trois jours après une attaque de Boko Haram sur une école du nord-est du Nigeria attendaient leur retour avec inquiétude jeudi, alors que les autorités locales ont annoncé la libération de plusieurs d'entre elles.
Plusieurs lycéennes enlevées cette semaine dans le nord-est du Nigeria par Boko Haram ont été "secourues" par l'armée, selon les autorités locales, alors que les familles attendaient jeudi leur retour avec inquiétude, ignorant combien se trouvaient encore entre les mains des jihadistes.
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