Retrouvez l'actualité sur Bolivie avec Tendance Ouest | Page 2
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Contactez-nousLe président Evo Morales a lancé samedi un appel au dialogue aussitôt rejeté par l'opposition, et des incidents se sont poursuivis dans la nuit dans une Bolivie sous haute tension, avec des mutineries d'unités policières et l'occupation de médias d'Etat par des manifestants.
Le président bolivien Evo Morales a convoqué une réunion d'urgence vendredi soir avec plusieurs ministres dans la foulée de mutineries d'au moins trois compagnies de police, une rébellion contre laquelle le pouvoir exclut pour l'heure d'envoyer l'armée.
Sur toute la planète, des citoyens se mobilisent depuis des semaines voire des mois pour réclamer des changements dans leur pays. Rencontre de journalistes de l'AFP avec sept d'entre eux.
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Contactez-nousUn ricanement diabolique... c'est le Joker qui rôde dans les rues et effarouche les passants. Johnny Tales, un comédien qui a migré du Venezuela après avoir été agressé par de vrais criminels, survit à Medellin en jouant l'anti-héros vedette du box office.
Le président prédit un coup d'Etat dans "la semaine": huit jours après la réélection controversée d'Evo Morales, au pouvoir depuis 2006, l'opposition bolivienne veut intensifier la contestation, étendre le mouvement à la capitale et réclame désormais l'annulation pure et simple du scrutin.
La réélection contestée du socialiste Evo Morales, à la tête de la Bolivie pour un quatrième mandat, soulève des questions sur le futur de la Bolivie. Va-t-elle devenir un régime autoritaire isolé sur la scène internationale, comme celui de Nicolas Maduro au Venezuela?
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Contactez-nousLe président bolivien Evo Morales a exclu samedi "toute négociation politique" avec l'opposition, qui conteste les résultats de l'élection présidentielle du 20 octobre, et a écarté toute éventualité d'un second tour, malgré les tensions dans le pays.
L'Union européenne, les Etats-Unis et des pays latino-américains ont haussé le ton contre le président bolivien Evo Morales, réélu au premier tour au terme d'un dépouillement contesté, en réclamant un second tour ou en le menaçant de ne pas le reconnaître.
L'interminable dépouillement de la présidentielle se poursuivait dans la nuit de mercredi à jeudi en Bolivie, pays en proie à une grève générale émaillée d'affrontements entre partisans et détracteurs du socialiste Evo Morales qui brigue la réélection.
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Contactez-nousLe chef de l'Etat bolivien Evo Morales a dénoncé la grève générale déclenchée mercredi dans son pays à l'appel de l'opposition, la comparant à un "coup d'Etat", dans ses premières déclarations publiques depuis l'élection présidentielle de dimanche.
Une grève générale a débuté mercredi en Bolivie, où de nouveaux incidents ont éclaté dans la nuit pour protester contre le dépouillement des élections de dimanche, en passe de donner le président sortant Evo Morales vainqueur au premier tour.
Après de violents incidents dans la nuit, la Bolivie se préparait mardi à vivre une nouvelle journée de tension après les derniers résultats électoraux qui donnent le président sortant Evo Morales vainqueur au premier tour, dans un revirement inexpliqué dénoncé par son opposant et les observateurs.
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Contactez-nousDe violents incidents ont éclaté lundi à travers la Bolivie, à l'annonce de nouveaux résultats partiels qui donnent le président sortant Evo Morales vainqueur au premier tour, dans un revirement inexpliqué dénoncé par son opposant et les observateurs.
Le président bolivien sortant, Evo Morales, est arrivé dimanche en tête de l'élection présidentielle, suivi de près par son principal adversaire, le centriste Carlos Mesa, le contraignant à un second tour inédit dans ce pays, selon des résultats partiels.
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