Retrouvez l'actualité sur black blocs avec Tendance Ouest | Page 3
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Contactez-nousLa manifestation parisienne du 1er Mai, éclipsée par les violences de groupes d'ultragauche, a suscité frustrations syndicales - avec des craintes pour le droit de manifester - et polémique politique autour d'éventuelles défaillances policières.
Gérard Collomb a promis mercredi "encore plus de forces de l'ordre" lors des prochaines manifestations, après des dégradations commises en marge du défilé syndical du 1er mai à Paris, émaillé de violents incidents commis par des militants d'ultragauche.
"Les casseurs décrédibilisent tout": la présence d'un grand nombre de "black blocs", qui ont jeté des projectiles sur les forces de l'ordre et causé des dégradations, a fait dérailler le défilé parisien du 1er Mai, qui n'a pas pu se dérouler comme prévu, suscitant de vives critiques politiques.
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Contactez-nousDes militants d'ultra-gauche avaient promis "une journée en enfer". Dégradations, voitures brûlées, jets de projectiles, manifestants contraints de faire demi-tour: le défilé parisien du 1er mai a rapidement tourné mardi à l'affrontement violent entre "black blocs" et forces de l'ordre.
Le préfet de police de Paris Michel Delpuech a expliqué mardi soir que les forces de l'ordre "ne pouvaient pas intervenir" pour stopper les violences en marge du défilé du 1er Mai, en raison de la présence de "black blocs" au sein d'un important cortège de militants d'ultra-gauche.
Les principaux leaders de l'opposition ont unanimement condamné les violences qui ont éclaté en marge du traditionnel défilé syndical du 1er mai, droite et FN s'en prenant au gouvernement.
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Contactez-nous"Les casseurs décrédibilisent tout": la manifestation parisienne du 1er Mai était perturbée par de nombreux militants d'extrême gauche, qui ont causé des dégradations et affrontés les forces de l'ordre, incitant la préfecture de police à demander aux syndicats de changer d'itinéraire.
Des milliers de personnes ont commencé tant bien que mal à défiler mardi à Paris en ce 1er Mai syndical entravé par la présence de plusieurs centaines de militants d'extrême gauche encagoulés qui ont causé des dégradations le long du parcours.
Des heurts ont de nouveau éclaté dimanche entre 300 manifestants et les forces de l'ordre sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, peu avant le début d'un rassemblement pacifique en soutien aux occupants expulsés.
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Contactez-nousLes affrontements ont repris samedi matin pour le sixième jour consécutif à la ZAD de Notre-Dame-des-Landes où les évacuations de squats ont pourtant cessé pour laisser place aux opérations de déblaiement et à l'enregistrement d'éventuels dossiers de régularisation de projets agricoles.
Les occupants de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes ont été appelés vendredi à régulariser leur situation avant le 23 avril, quelques heures après le lancement d'une opération coup de poing visant à dégager une route départementale.
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