Retrouvez l'actualité sur bahri avec Tendance Ouest
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLes manifestants soudanais, appelés à la "désobéissance civile", tentent de reprendre la rue après la violente évacuation du sit-in devant le siège de l'armée à Khartoum le 3 juin, mais ont fait face dimanche à la répression des forces de l'ordre.
La police a tiré dimanche à Khartoum des gaz lacrymogènes sur des manifestants qui tentaient d'ériger des barrages routiers, au premier jour d'une campagne nationale de "désobéissance civile" lancée par les chefs de la contestation contre les militaires au pouvoir.
Des figures de l'opposition soudanaise ont été arrêtées samedi après leur rencontre avec le Premier ministre éthiopien venu en médiateur entre contestation et militaires à Khartoum, toujours déserte cinq jours après la violente dispersion par les forces de sécurité du sit-in des manifestants.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDes Soudanais ont raconté jeudi le climat de peur des derniers jours à Khartoum face à la répression sanglante contre le mouvement de contestation, dont le gouvernement a tenté de minimiser l'ampleur.
Le gouvernement soudanais a cherché jeudi à minorer l'ampleur de la répression sanglante des derniers jours contre la contestation, déterminée de son côté à poursuivre la lutte "pacifique" contre le pouvoir militaire malgré la peur liée à l'escalade de la violence.
Le cargo saoudien qui devait être chargé en armes françaises a fait demi-tour vendredi 10 mai 2019. Plusieurs associations craignaient que ces armes soient utilisées dans les massacres de la guerre au Yémen. La mobilisation contre ce chargement s'était donc organisée, entre rassemblement et recours devant la justice.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe cargo saoudien Bahri Yanbu, attendu depuis plusieurs jours au port français du Havre où il devait procéder à un chargement d'armes, source de controverses, ne fera finalement pas escale dans le port français, a-t-on appris vendredi de source portuaire.
Emmanuel Macron a dit jeudi "assumer" la vente d'armes françaises à l'Arabie saoudite, assurant avoir la "garantie" qu'elles "n'étaient pas utilisées contre des civils" au Yémen, alors que des recours ont été déposés pour empêcher le chargement d'armes à bord d'un cargo saoudien au Havre.
Un cargo saoudien est arrivé au Havre (Seine-Maritime) mercredi 8 mai 2019 pour être chargé en armes. Plusieurs associations se mobilisent contre ce chargement qui pourrait servir à l'Arabie saoudite dans sa guerre au Yémen.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa France a reconnu mercredi qu'un navire saoudien allait effectuer un chargement d'armes mais assuré qu'elle ne disposait d'"aucune preuve" permettant d'affirmer que des armes françaises sont utilisées dans la guerre meurtrière menée au Yémen par l'Arabie.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous