Retrouvez l'actualité sur Bagdad avec Tendance Ouest | Page 9
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Contactez-nousLes Irakiens ont créé la surprise en plaçant lundi en tête des législatives, selon des résultats encore partiels, deux listes anti-système, loin devant le Premier ministre Haider al-Abadi, pourtant crédité d'un large soutien international et de la récente victoire face aux jihadistes.
Les Irakiens votaient samedi pour décider si le Premier ministre Haider al-Abadi, parvenu en 2014 à son poste grâce un accord tacite entre les Etats-Unis et l'Iran, resterait aux manettes après l'avoir emporté sur les jihadistes, qui menaçaient l'existence du pays.
Près de 24,5 millions d'Irakiens élisaient samedi un nouveau Parlement et beaucoup affichaient leur désir de changement de leur élite politique pour remettre sur pied le pays en lambeaux après trois ans de guerre contre le groupe Etat islamique (EI).
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Contactez-nousDe Bagdad à Kirkouk, de l'ouest sunnite aux confins du sud chiite, pour beaucoup d'Irakiens, les législatives de samedi doivent signer la fin des "requins de la corruption" et l'entrée de nouveaux visages dans une classe politique inchangée depuis quinze ans.
En plein désarroi, minés par les divisions, les Kurdes irakiens risquent de perdre une dizaine de sièges lors des élections générales du 12 mai, ce qui réduirait leur capacité à faire valoir les intérêts de leur communauté.
En 1986, Ahmed Radhi et Basil Gorgis défendaient sous le même maillot les couleurs de l'Irak lors de la Coupe du monde de football au Mexique. Aujourd'hui, ils s'affrontent pour décrocher une place au Parlement.
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Contactez-nousLes Emirats arabes unis et l'Irak ont donné lundi le coup d'envoi de la reconstruction de la mosquée al-Nouri de Mossoul et de son minaret penché, ravagés en juillet lors des combats pour la reprise de la ville aux jihadistes.
Le Premier ministre sortant, son prédécesseur écarté il y a quatre ans et, en embuscade, le chef des paramilitaires ayant vaincu les jihadistes sont les favoris des premières élections irakiennes après la victoire sur le groupe Etat islamique (EI).
La jihadiste française Djamila Boutoutaou a été condamnée mardi à la prison à perpétuité pour appartenance au groupe Etat islamique (EI) par la Cour pénale centrale de Bagdad devant laquelle elle a plaidé avoir été dupée par son mari.
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Contactez-nousIl y a 15 ans, Abou Ali s'est réjoui en voyant entrer les soldats américains dans Bagdad. "Le tyran est fini, l'Amérique va s'occuper de nous", avait-il pensé, imaginant un avenir radieux sans Saddam Hussein.
Désormais autorisé par la Fifa à accueillir des matches internationaux, l'Irak entend bien profiter de ces rendez-vous sportifs pour relancer le secteur touristique et des services, notamment à Bassora, riche région pétrolière qui peine à diversifier son économie.
Les instances sportives irakiennes ont salué samedi la décision "historique" de la Fifa d'autoriser la reprise des matches officiels dans le pays, interdits depuis les années 1990 pour des raisons de sécurité.
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Contactez-nousA 17 ans, Kamal Jalal a vu deux de ses soeurs mourir dans l'attaque chimique de l'armée de Saddam Hussein sur sa ville de Halabja. Trois décennies plus tard, ce Kurde irakien n'a toujours pas été dédommagé pour les séquelles subies.
Le 16 mars 1988, il y a trente ans, environ 5.000 Kurdes irakiens, en majorité des femmes et des enfants, étaient tués par des gaz de combat répandus par l'armée irakienne de Saddam Hussein à Halabja, dans le nord-est du pays.
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