Retrouvez l'actualité sur bachar al-assad avec Tendance Ouest | Page 13
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Contactez-nousLa Syrie a "condamné avec force" l'annonce du retrait des États-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien, affirmant sa "totale solidarité" avec Téhéran et sa confiance dans la capacité de l'Iran à surmonter l'impact de la "position agressive" de Washington.
Le mouvement chiite libanais Hezbollah, allié de l'Iran et bête noire d'Israël et Washington, sorti politiquement renforcé des législatives de dimanche, semble désormais en capacité de s'offrir une quasi-immunité pour son arsenal militaire controversé, selon des experts.
Le 7 mai 2017, Emmanuel Macron remportait l'élection présidentielle avec 66,1% des voix face à la candidate d'extrême droite Marine Le Pen. L'AFP revient en images sur les douze premiers mois au pouvoir du plus jeune président français de l'histoire.
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Contactez-nousA quelques jours de la décision du président américain Donald Trump sur l'accord nucléaire iranien, Téhéran a averti dimanche que les États-Unis regretteraient "comme jamais" leur éventuel retrait du texte, tout en restant vague sur ses intentions.
Les premières législatives en près d'une décennie se tiennent dimanche au Liban, où les équilibres politiques historiquement fragiles ont été mis à rude épreuve ces dernières années par le tumulte régional, principalement le conflit en Syrie voisine.
Au moins 26 combattants, en "majorité" des Iraniens, ont été tués en Syrie dans des tirs de missiles sur des positions militaires du régime, une ONG pointant du doigt Israël qui refuse tout ancrage de Téhéran chez son voisin en guerre.
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Contactez-nousDes "missiles ennemis" ont visé dimanche soir des "positions militaires" du régime syrien dans les provinces de Hama et d'Alep, a annoncé l'agence officielle Sana, dénonçant une "agression" sans en identifier les auteurs.
Les médias d'Etat syriens ont annoncé dimanche un accord d'évacuation dans le camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk, situé dans le sud de Damas et où des jihadistes du groupe Etat islamique (EI) sont présents.
Réunis samedi à Moscou pour relancer la recherche d'un règlement du conflit en Syrie, les chefs de la diplomatie russe, turque et iranienne ont affiché leur unité et souligné l'importance du processus d'Astana.
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Contactez-nousLes combats entre les forces prorégime et le groupe Etat islamique (EI) se sont intensifiés samedi dans le sud de Damas, au dixième jour d'une offensive visant à déloger l'organisation jihadiste de son ultime bastion dans la capitale, a indiqué une ONG.
Les chefs de la diplomatie russe, turque et iranienne se réunissent samedi à Moscou pour un sommet visant à relancer la recherche d'un règlement du conflit en Syrie, où les trois pays se sont imposés en maîtres du jeu.
La communauté internationale réunie à Bruxelles, qui devait mobiliser mercredi plusieurs milliards d'euros en faveur des millions de déplacés et réfugiés syriens, a exhorté la Russie et l'Iran à faire pression sur Damas pour négocier la fin d'une guerre entrée dans sa huitième année.
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Contactez-nousAccrochages quotidiens, nouvelles barricades, avions de reconnaissance dans le ciel: à Deraa, dans le sud de la Syrie, les rebelles consolident leurs positions face à la menace d'une offensive du pouvoir de Bachar al-Assad.
Les grandes puissances du G7, qui ont confirmé leur front uni face à la Russie, vont aussi afficher lundi leur fermeté avant des négociations historiques avec la Corée du Nord, sans avoir surmonté leurs divisions sur l'Iran à l'approche d'une décision cruciale des États-Unis.
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