Retrouvez l'actualité sur apologie du terrorisme avec Tendance Ouest
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Contactez-nousLeur pédigrée fait froid dans le dos. Deux détenus du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe près d'Alençon (Orne) seront jugés jeudi 10 octobre 2019 au palais de justice de la cité ornaise.
La maison de Latifa Ibn Ziaten à Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime) a été taguée avec des inscriptions pro-Merah dans la nuit du 9 au 10 juin 2019. La mère d'une des victimes de Mohamed Merah a elle-même révélé ces tags. Elle a déposé plainte.
On en parle peu, tant les projecteurs ont été braqués sur la détention: parmi les personnes suspectées de radicalisation ou mises en cause dans un dossier terroriste, quelque 850 hommes et femmes sont actuellement suivis hors de prison en France.
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Contactez-nous200.000 euros pour avoir le "plaisir" de brûler une statue géante du roi Felipe VI. C'est ce que proposent deux artistes contemporains espagnols habitués de la polémique à la foire d'art contemporain ARCO de Madrid qui a ouvert ses portes mercredi.
Quatre meurtres de sang froid en moins de deux minutes: près de cinq ans après les faits, Mehdi Nemmouche est jugé à partir de jeudi devant les assises de la capitale belge pour la tuerie du Musée juif de Bruxelles.
Mehdi Nemmouche, jihadiste français accusé des quatre assassinats commis en 2014 au Musée juif de Bruxelles, comparaît lundi devant la cour d'assises de la capitale belge pour une nouvelle audience préparatoire, trois jours avant l'ouverture de son procès placé sous étroite surveillance policière.
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Contactez-nousAtteint de troubles psychiatriques "importants" et suivi pour radicalisation islamiste: les enquêteurs tentaient vendredi de cerner le profil de Kamel S., auteur de la sanglante agression au couteau de Trappes revendiquée par le groupe État islamique, dont les motivations restent pourtant floues.
Un homme ayant des "problèmes psychiatriques importants" a tué jeudi matin deux membres de sa famille et blessé grièvement une autre personne à Trappes (Yvelines) avant d'être abattu par la police, un acte revendiqué par le groupe État islamique (EI) mais dont les autorités tentaient de déterminer s'il était bien terroriste.
Un homme ayant des "problèmes psychiatriques importants" a tué jeudi matin deux membres de sa famille et blessé grièvement une autre personne à Trappes (Yvelines) avant d'être abattu par la police, un acte revendiqué par le groupe Etat islamique (EI) mais dont les autorités tentaient de déterminer s'il était bien terroriste.
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Contactez-nousUn homme défavorablement connu de la police a tenté d'échapper aux agents, dans la nuit de samedi 21 à dimanche 22 juillet 2018, en se jetant dans le bassin du commerce. Il avait près de deux grammes d'alcool dans le sang.
D'ici deux ans, une quarantaine de détenus radicalisés sortiront de prison: un "risque majeur" pour le parquet antiterroriste. Mais que faire de ces personnes condamnées, une fois qu'elles ont purgé leur peine?
Le détenu radicalisé incarcéré à Brest qui s'était évadé mi-mai lors d'un transfert médical a été arrêté dans la nuit de lundi à mardi à Saint-Sébastien (nord de l'Espagne) lors d'un contrôle d'identité, a-t-on appris de sources concordantes.
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Contactez-nousUn détenu de la maison d'arrêt de Brest, "fiché S" en raison d'une "tendance à la radicalisation", était toujours recherché mercredi soir après son évasion dans la matinée lors d'un transfert médical.
Un détenu de la maison d'arrêt de Brest, "fiché S" en raison d'une "tendance à la radicalisation", s'est évadé mercredi matin lors d'un transfert médical et était activement recherché.
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