Retrouvez l'actualité sur ankara avec Tendance Ouest | Page 11
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Contactez-nousUn premier groupe rebelle pro-Ankara a amorcé dimanche son retrait de la future "zone démilitarisée" dans le nord-ouest de la Syrie, en vertu de l'accord russo-turc du 17 septembre qui a permis de repousser l'imminence d'une offensive du régime sur la province d'Idleb.
Angela Merkel et Recep Tayyip Erdogan ont affiché un timide rapprochement entre leurs deux pays malgré les "profondes différences" qui demeurent, en particulier concernant les droits de l'homme et de la liberté de la presse en Turquie.
"Pourquoi les Grecs ne font-ils rien alors qu'ils reçoivent beaucoup d'argent pour s'occuper de nous ?" : à Moria, Jamal, 53 ans, fait écho à la volée de critiques que vaut à Athènes la situation dans ce camp migratoire sur l'île de Lesbos, le plus important de Grèce.
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Contactez-nousLe président turc Recep Tayyip Erdogan a été accueilli jeudi en milieu de journée à Berlin avec les honneurs militaires pour une visite d'Etat censée réconcilier les deux pays malgré des protestations, a constaté une journaliste de l'AFP.
L'accord turco-russe sur une "zone démilitarisée" à Idleb est peut-être parvenu a éloigner la perspective d'une offensive sur cet ultime grand bastion insurgé de Syrie, mais les experts semblent sceptiques quant à la capacité d'Ankara de l'imposer aux jihadistes de la région.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan tentent lundi de surmonter leurs désaccords sur le sort d'Idleb, dernier bastion rebelle de Syrie que le régime compte bien reprendre avec l'aide de son allié russe.
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Contactez-nousLe Conseil de sécurité se réunit mardi pour discuter une nouvelle fois de la province syrienne d'Idleb, où l'ONU craint "la pire catastrophe humanitaire" du siècle si le régime de Damas attaque l'ultime grand bastion insurgé.
Après avoir parcouru des milliers de kilomètres, ils ont atterri en Syrie pour mener ce qu'ils croyaient être une guerre sainte. Des jihadistes étrangers sont aujourd'hui prêts à se battre jusqu'au bout pour défendre la province d'Idleb, leur dernier bastion du pays.
La province d'Idleb, ultime bastion insurgé dans la Syrie en guerre, a été frappée samedi par les raids aériens russes les plus "intenses" depuis un mois, au lendemain de l'échec d'un sommet tripartite sur le sort de cette province.
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Contactez-nousLa province d'Idleb, ultime bastion insurgé dans la Syrie en guerre, a été frappée samedi par les raids aériens russes les plus "intenses" depuis un mois, au lendemain de l'échec d'un sommet tripartite sur le sort de cette province.
Dernier grand bastion insurgé en Syrie, la province d'Idleb --trois millions d'habitants et plusieurs dizaines de milliers de combattants, jihadistes en majorité--, attend son sort au lendemain de l'échec d'un sommet à Téhéran, faisant craindre une nouvelle catastrophe humanitaire.
Les présidents d'Iran, de Russie et de Turquie se retrouvent en sommet vendredi à Téhéran pour décider du sort de la province d'Idleb, ultime grand bastion jihadiste et rebelle de Syrie où la communauté internationale redoute un désastre humanitaire imminent.
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Contactez-nous"Massacre", "bain de sang" et menaces américaines. Les mises en garde se sont multipliées contre la perspective d'un assaut du régime contre Idleb, dernier grand bastion rebelle et jihadiste en Syrie, à deux jours d'un sommet décisif à Téhéran.
"Massacre", "bain de sang" et menaces américaines. Les mises en garde se sont multipliées contre la perspective d'un assaut du régime contre Idleb, dernier grand bastion rebelle et jihadiste en Syrie, à deux jours d'un sommet décisif à Téhéran.
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