Retrouvez l'actualité sur alger avec Tendance Ouest
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousUne marée humaine a envahi vendredi le centre d'Alger pour conspuer le nouveau chef de l'Etat élu, Abdelmadjid Tebboune, un ex-fidèle du président déchu Abdelaziz Bouteflika, au lendemain d'un scrutin très largement boycotté par les Algériens.
Une marée humaine a envahi vendredi le centre d'Alger pour conspuer le nouveau chef de l'Etat élu la veille, Abdelmadjid Tebboune, un ex-fidèle du président déchu Abdelaziz Bouteflika, a constaté une journaliste de l'AFP.
Les Algériens attendent vendredi les résultats du premier tour de la présidentielle, un scrutin marqué par une abstention record et vigoureusement rejeté par le "Hirak", le mouvement populaire ayant emporté en avril le président Abdelaziz Bouteflika, qui s'apprête à descendre à nouveau dans la rue.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLes Algériens attendent vendredi les résultats du premier tour de l'élection présidentielle de la veille, un scrutin marqué par une abstention record et vigoureusement rejeté par le "Hirak", le mouvement de contestation populaire qui avait emporté en avril le président Abdelaziz Bouteflika.
Après pratiquement dix mois d'une contestation populaire massive et inédite, les Algériens sont appelés jeudi aux urnes afin d'élire un successeur à Abdelaziz Bouteflika, dans une présidentielle perçue comme une manoeuvre de survie du régime, qu'ils devraient largement bouder.
La campagne électorale pour la présidentielle prévue jeudi en Algérie, afin de remplacer l'ex-président déchu Abdelaziz Bouteflika, a pris fin dimanche après trois semaines marquées par un rejet massif du scrutin par la population.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousUne foule immense a défilé à Alger contre le pouvoir lors du dernier vendredi avant la présidentielle du 12 décembre, rejetant massivement ce scrutin que le régime persiste à vouloir organiser.
Une foule immense a défilé à Alger contre le pouvoir lors du dernier vendredi avant la présidentielle du 12 décembre, rejetant massivement ce scrutin que le régime persiste à vouloir organiser.
L'autorité électorale algérienne a annoncé samedi avoir validé les dossiers de cinq candidats à la l'élection présidentielle prévue le 12 décembre, dont ceux de deux ex-Premiers ministres du président déchu Abdelaziz Bouteflika.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousSur toute la planète, des citoyens se mobilisent depuis des semaines voire des mois pour réclamer des changements dans leur pays. Rencontre de journalistes de l'AFP avec sept d'entre eux.
Une marée humaine s'est répandue vendredi dans les rues d'Alger pour réclamer une "nouvelle indépendance", 65 ans jour pour jour après le début de la lutte armée contre le colonisateur français.
Dans un procès expéditif, loin des médias, le frère du président déchu, Saïd Bouteflika, deux ex-chefs du renseignement et une cheffe de parti politique ont été condamnés mercredi par un tribunal militaire algérien à 15 ans de prison pour "complot contre l'autorité de l'Etat".
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousUn tribunal militaire algérien a condamné à 15 ans de prison Saïd Bouteflika, frère du président déchu Abdelaziz Bouteflika, jugé pour "atteinte à l'autorité de l'armée" et "complot contre l'autorité de l'Etat", a rapporté mercredi l'agence officielle APS.
L'armée algérienne a durci le ton mercredi, trois jours après l'annonce d'une élection présidentielle malgré le rejet de la rue, en indiquant qu'elle empêcherait désormais les manifestants des autres régions de se joindre aux cortèges de la capitale Alger.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous