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Contactez-nousBond de l'extrême droite, recul des socialistes, effondrement des libéraux: l'échiquier politique espagnol était encore plus chaotique lundi au lendemain des législatives, compliquant à l'extrême la formation d'un nouveau gouvernement.
L'Espagne va retourner aux urnes le 10 novembre pour la quatrième fois en quatre ans, le chef du gouvernement socialiste Pedro Sanchez n'étant pas parvenu à obtenir les soutiens nécessaires à sa reconduction au pouvoir.
Le chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez a échoué jeudi à obtenir la confiance de la Chambre des députés pour rester au pouvoir, faute d'être parvenu à un accord de coalition avec la gauche radicale de Podemos.
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Contactez-nousVainqueur des élections législatives en Espagne, le socialiste Pedro Sanchez était seul à même lundi de former une coalition de gouvernement après la décomposition de la droite mais a il décidé de prendre son temps, au moins un mois.
Le Premier ministre socialiste espagnol Pedro Sanchez a remporté dimanche les élections législatives sans atteindre la majorité absolue, après le dépouillement de plus de la moitié des bulletins tandis que l'extrême droite se prépare à entrer au parlement, plus de 40 ans après la fin de la dictature de Francisco Franco.
L'Espagne retourne aux urnes dimanche pour un scrutin très incertain où le chef du gouvernement socialiste, en tête des sondages, met en garde contre la résurgence de l'extrême droite.
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Contactez-nousAux cris de "Sanchez démission", la droite et l'extrême droite ont mobilisé dimanche à Madrid plusieurs dizaines de milliers de personnes dans une démonstration de force contre le chef du gouvernement socialiste espagnol, accusé d'avoir "trahi" l'Espagne en dialoguant avec les indépendantistes catalans.
Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté dimanche à Madrid à l'appel de la droite et de l'extrême droite contre le chef du gouvernement socialiste Pedro Sanchez, accusé d'avoir "trahi" l'Espagne en dialoguant avec les indépendantistes catalans.
Débordé violemment par sa base, le président indépendantiste catalan Quim Torra était accusé mardi de se livrer à un double jeu "dangereux" au lendemain d'échauffourées à Barcelone, un an après la vaine tentative de sécession de la Catalogne.
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