Retrouvez l'actualité sur agences de sécurité sanitaire avec Tendance Ouest
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Contactez-nousLa pression des consommateurs semble avoir un effet sur le contenu de leur assiette: l'utilisation des additifs dans les aliments industriels a globalement diminué en 10 ans, selon un rapport officiel publié mercredi.
Bisphénols, phtalates, solvants, parabènes... Une vaste étude publiée mardi montre que six "polluants du quotidien" dont on connaît encore mal les effets "sont présents dans l'organisme de tous les Français", alors que le gouvernement présente sa feuille de route contre les perturbateurs endocriniens.
Dans la même semaine, un tribunal a accepté des demandes de particuliers opposés à la pose de compteurs Linky, alors qu'aucun risque n'est scientifiquement prouvé, tandis qu'un autre a rejeté des requêtes similaires. Le point sur ces décisions contradictoires et encore provisoires.
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Contactez-nousMalgré les recommandations officielles, des résidus de substances chimiques indésirables sont toujours présents dans les protections intimes féminines (tampons et serviettes périodiques), déplore jeudi le magazine 60 millions de consommateurs.
Parfums, dioxines... Certaines substances chimiques détectées dans les couches jetables peuvent présenter des "risques" à long terme pour les bébés et devront être au moins réduites par les fabricants d'ici "quelques mois", a exigé mercredi le gouvernement français après une alerte lancée par l'agence de sécurité sanitaire du pays.
Pourquoi des enfants sont-ils nés sans mains, bras ou avant-bras ? Après la découverte de nouveaux cas dans l'Ain une grande enquête nationale est en cours, la ministre de la Santé Agnès Buzyn assurant ne vouloir "fermer aucune piste".
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Contactez-nousUne enquête sur toute la France "est en cours" dans l'affaire des bébés nés sans mains, bras ou avant-bras, a annoncé mercredi matin le Dr. François Bourdillon, directeur général de l'agence Santé publique France.
Onze cas suspects supplémentaires d'enfants nés sans bras ou avant-bras ont été identifiés dans l'Ain par l'agence Santé publique France, relançant la polémique avec le registre régional Remera.
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