Retrouvez l'actualité sur affaire skripal avec Tendance Ouest
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Contactez-nousL'Autriche soupçonne un de ses colonels d'armée, aujourd'hui à la retraite, d'avoir mené durant des décennies des activités d'espionnage au profit de la Russie, une nouvelle affaire embarrassante pour les relations entre Moscou et les Occidentaux plombées par la défiance.
Le second suspect de la tentative d'empoisonnement de l'ex-espion russe Sergueï Skripal en mars à Salisbury (Angleterre) est un médecin du service de renseignement militaire russe (GRU), a annoncé lundi le site d'investigation bellingcat.com.
Depuis l'affaire Skripal, le GRU, service de renseignement militaire russe jusqu'alors méconnu, est sur toutes les lèvres. Mais c'est aussi parce que ses agents, de Salisbury à La Haye n'ont pas toujours fait dans la discrétion.
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Contactez-nousLes puissances occidentales ont accusé jeudi la Russie d'orchestrer une série de cyberattaques mondiales dont une tentative de piratage du siège de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) aux Pays-Bas, qui ont annoncé avoir expulsé quatre espions russes.
Bellingcat, le site internet d'investigation affirmant avoir découvert la véritable identité de l'un des suspects de l'affaire Skripal, est né de l'initiative d'un Britannique voulant décrire les types d'armes utilisées dans la guerre en Syrie, depuis le centre de l'Angleterre.
Moscou et Pékin se sont indignés vendredi des nouvelles sanctions annoncées par Washington contre la Russie mais aussi, fait inédit, la Chine pour l'achat d'armes russes, attisant des tensions déjà vives dans un contexte de guerre commerciale.
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Contactez-nousUn membre en vue du groupe contestataire russe Pussy Riot a été hospitalisé dimanche en Allemagne par sa famille, qui dénonce une tentative d'assassinat par empoisonnement pour le punir d'avoir envahi la pelouse pendant la finale de la Coupe du monde de football en Russie.
Le ministre britannique de l'Intérieur, Sajid Javid, a enjoint les Russes de "s'expliquer" après l'empoisonnement de deux Britanniques à l'aide du même agent innervant dont avaient été victimes un ex-espion russe et sa fille il y a quatre mois à Salisbury (sud-ouest de l'Angleterre).
Le mystère entoure mercredi l'hospitalisation de deux personnes exposées à une "substance inconnue" et retrouvées inconscientes à Amesbury, ville voisine de celle où l'ex-espion russe Sergueï Skripal a été victime d'une tentative d'empoisonnement en mars.
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