Retrouvez l'actualité sur administration pénitentiaire avec Tendance Ouest
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Contactez-nousTrois mois après l'attaque de deux surveillants par un détenu radicalisé, une nouvelle prise d'otage était en cours mardi soir à la prison de Condé-Sur-Sarthe (Orne), menée par un "champion de la prise d'otage carcérale", Francis Dorffer, qui retenait deux surveillants.
Un détenu de Condé-sur-Sarthe retenait en otage deux surveillants mardi en début de soirée (Orne) dans cet établissement où un prisonnier radicalisé avait attaqué deux surveillants début mars, a-t-on appris de sources concordantes.
Une prise d'otages est survenue mardi 11 juin 2019 dans la prison ultra-sécurisée de Condé-sur-Sarthe près d'Alençon (Orne) où un détenu a profité du service du repas pour tromper la vigilance de deux surveillants. Ils sont finalement sains et saufs.
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Contactez-nousLa Ministre de la Justice, garde des Sceaux, Nicole Belloubet, a été auditionnée par la Commission des lois de l'Assemblée nationale, mardi après-midi 30 avril 2019, suite à l'agression de 2 surveillants pénitentiaires qui avaient été poignardés par un détenu radicalisé et par sa compagne, dans une unité de vie familiale, le 5 mars précédent.
On en parle peu, tant les projecteurs ont été braqués sur la détention: parmi les personnes suspectées de radicalisation ou mises en cause dans un dossier terroriste, quelque 850 hommes et femmes sont actuellement suivis hors de prison en France.
Après 15 jours de blocus du site par les surveillants, une dizaine de personnes se sont regroupées devant la prison de Condé-sur-Sarthe, près d'Alençon (Orne), vendredi 22 mars 2019 en début d'après-midi, à l'appel du syndicat PRP " pour la protection et le respect des prisonniers ". Des familles de détenus avec leurs enfants et quelques sympathisants, venus de Châteauroux, Rennes, Caen, Nantes et Lyon, se sont réunis devant le centre pénitentiaire. Les familles n'ont pas pu voir les leurs durant le blocus du site durant 15 jours par les surveillants, dont 2 avaient été violemment agressés le 5 mars, par un détenu radicalisé.
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Contactez-nousCinq détenus de la prison d'Alençon Condé-sur-Sarthe (Orne) ont été placés en garde à vue lors d'une opération de police menée lundi matin pour rechercher d'éventuels complices du détenu radicalisé qui a agressé deux surveillants dans cet établissement début mars, a annoncé le parquet de Paris.
L'administration pénitentiaire siffle peut-être la fin de la récréation dans les prisons françaises de haute sécurité : elle envisagerait de rétablir les fouilles de détenus et de mettre en place celle des visiteurs. Les équipes locales de sécurité pénitentiaire verraient leurs prérogatives augmentées, dans et aux abords des prisons, avec armement par pistolets à impulsions électriques, et renforts de chiens. Des avancées qu'il reste désormais à concrétiser…
Le dimanche 10 mars 2019, les surveillants de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne) et des renforts venus d'autres établissements en sont à leur cinquième jour de blocage, malgré des interventions des forces de l'ordre.
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Contactez-nousLe centre pénitentiaire d'Alençon Condé-sur-Sarthe (Orne) est bloqué pour le quatrième jour d'affilée, samedi 9 mars 2019 après l'agression de deux surveillants par un détenu radicalisé.
La prison d'Alençon/Condé-sur-Sarthe (Orne), où deux surveillants ont été grièvement poignardés mardi par un détenu radicalisé, était le seul établissement encore bloqué samedi, pour la quatrième journée consécutive, a indiqué à l'AFP l'administration pénitentiaire.
Un détenu "radicalisé" a poignardé deux surveillants mardi matin, les blessant grièvement avant de se retrancher avec sa compagne au sein de l'unité familiale de la prison ultrasécurisée d'Alençon, une attaque dont le parquet antiterroriste de Paris s'est immédiatement saisi.
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Contactez-nousUn commando armé a attaqué une escorte pénitentiaire lundi matin devant le palais de justice de Tarascon (Bouches-du-Rhône), permettant à un détenu qui devait être conduit devant un juge d'instruction de s'évader.
Prison "modèle" ultra-moderne à son ouverture, puis décriée comme un "monstre" automatisé et déshumanisant, Fleury-Mérogis, plus grand établissement pénitentiaire d'Europe aujourd'hui surpeuplé, aura mardi 50 ans.
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