Retrouvez l'actualité sur abdelkader bensalah avec Tendance Ouest | Page 3
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Contactez-nousLes contestataires entendent mobiliser massivement lors du premier vendredi de manifestation en Algérie depuis l'annonce d'une présidentielle le 4 juillet: ils craignent que ce scrutin soit frauduleux et ne serve qu'à conforter le pouvoir intérimaire dont ils réclament le départ.
Au lendemain de sa nomination et malgré sa promesse d'un scrutin présidentiel "transparent"d'ici trois mois, le chef de l'Etat algérien par intérim, Abdelkader Bensalah, fait face mercredi à de nouvelles manifestations et un appel à une grève nationale.
Le président par intérim algérien Abdelkader Bensalah s'est engagé mardi à organiser "un scrutin présidentiel transparent et régulier", dans un discours à la Nation retransmis à la télévision nationale.
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Contactez-nousLa police a tiré mardi des grenades lacrymogènes lors d'une manifestation dans le centre d'Alger pour évacuer des milliers d'étudiants protestant contre la désignation d'Abdelkader Bensalah, proche d'Abdelaziz Bouteflika, au poste de président par intérim, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, a été nommé mardi président par intérim, pour 90 jours, lors d'une réunion du Parlement algérien, une semaine après la démission d'Abdelaziz Bouteflika, selon la télévision nationale.
Le Parlement algérien se réunit mardi, une semaine après la démission d'Abdelaziz Bouteflika, pour lancer un processus d'intérim incertain et massivement rejeté par la rue, qui dénonce une tentative de maintien du "système" au pouvoir.
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Contactez-nousLe Parlement algérien se réunira mardi à 08H00 GMT pour nommer le président par intérim, a annoncé samedi soir le Conseil de la Nation, chambre haute du Parlement, la Constitution prévoyant que cette responsabilité incombe au président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah.
Le processus d'intérim prévu par la Constitution qui se met en place en Algérie après la démission du président Abdelaziz Bouteflika est contesté par les Algériens qui promettent de continuer à défiler en masse pour obtenir la chute totale du "système".
La rue algérienne n'entend pas relâcher la pression sur le pouvoir, après le départ du président Abdelaziz Bouteflika. Quels sont les scénarios possibles de la transition?
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Contactez-nousLe Conseil constitutionnel algérien "fait le constat de la vacance définitive de la présidence de la République", au lendemain de la démission d'Abdelaziz Bouteflika, indique mercredi un bandeau déroulant à la télévision nationale algérienne.
Après plus d'un mois de contestation, les Algériens voient s'ouvrir mercredi une nouvelle ère, aux contours incertains, au lendemain de la démission d'Abdelaziz Bouteflika, président durant deux décennies, avec la volonté apparente des manifestants de venir à bout du "système" tout entier.
Après un mois de contestation exemplaire, les Algériens se réveillent, pour la première fois en 20 ans, sans Abdelaziz Bouteflika à la tête du pays mais, la joie passée, n'entendent pas baisser la garde et veulent désormais obtenir le départ de tout le "système" au pouvoir.
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Contactez-nousAu pouvoir depuis deux décennies en Algérie, Abdelaziz Bouteflika, 82 ans, cible d'une contestation populaire inédite depuis plus d'un mois et lâché par l'armée, a démissionné mardi soir, ont annoncé les médias officiels.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika va démissionner avant l'expiration de son mandat, le 28 avril, a annoncé lundi la présidence de la République, un départ qui était la principale revendication depuis plus d'un mois de la rue qui réclame aussi la fin du "système".
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