En tirant plutôt bien son épingle du jeu dans ses ventes européennes, tout en ayant fait superbement son trou en Chine. Actuellement, 36 % des ventes de la 508 le sont en Chine. Et c’est bien parce que cet immense pays représente désormais le premier débouché de ce modèle que Peugeot n’a pas hésité à “taper dans la tôle” pour améliorer une silhouette pourtant déjà bien née.
Devenue plus “statutaire” dans l’opération, selon le souhait des Chinois, la 508 soigne aussi les détails, de la calandre plus verticale à l’adoption de feux LED à l’avant en haut de gamme. Du même coup, la 508 se raccorde parfaitement à l’élan stylistique des Peugeot plus récentes, 308 en particulier.
Dans l’affaire, la berline 508 s’est allongée de 3,8 cm, et le break SW de 1,6 cm seulement, car seul le porte-à-faux avant a été remanié.
À bord, c’est l’intégration d’un écran tactile couleur de 7 pouces à partir du niveau 2 Active qui est le plus tangible, pilotant fonctions du confort et connectivité, bien renforcée. Et deux nouvelles aides à la conduite apparaissent, surveillance d’angle mort et caméra de recul, de série ou en option.
Enfin, la palette des diesel (1.6 e-HDI 115 ch à partir de 27 000 €) accueille un BlueHDI 150 ch bvm6 (à 110 g de CO2/km) et une nouvelle version BlueHDI 2 litres 180 ch avec bva EAT6.
Au volant de cette dernière, la 508 ne cache pas son talent à virevolter d’une épingle à l’autre avec une intéressante agilité. Le nouveau bloc BlueTech 180 ch séduit par un velouté de fonctionnement qui tient à ses arbres d’équilibrage. Comparativement, le BlueHDI 150 ch apparaît plus bruyant, mais mieux orienté en consommation.
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