Désarmant de simplicité, il a conquis les chrétiens du monde entier, et pas seulement les catholiques. Mais sa bonhommie ne doit pas tromper : c'est un dirigeant hors pair. Il a le courage des décisions qui ne font pas que des amis, le courage des réformes qui impliquent de gros changements.
« Mon règne sera court » avait-il déclaré. Etait-ce en rapport avec sa volonté de transparence des comptes bancaires ? Ce qui lui a valu des menaces de la mafia. Ou encore la réforme annoncée de la curie romaine ? Ce qui lui vaut résistances, sourires et dédain.
Toujours est-il que pour les fidèles, son élection, c'est un "coup du Saint Esprit". Un vent de simplicité qui a touché les plus pauvres, les enfants, les malades. Tous ceux qui se sentaient oubliés, mais qui font partie de l'Eglise, universelle (le vrai sens de catholique), romaine, deux fois millénaire.
Le pape François s'inscrit dans une succession de papes remontant à saint Pierre. Même simplicité, même proximité, même fermeté, même respect de ses pairs, et même amour du Christ et de sa mère.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.