Un retour qui s'explique d'ailleurs en partie par le fait que l'ancien Messin n'était pas payé régulièrement dans son club turc d'Antaliasport. Son salaire actuel approcherait un montant trois fois moins important que celui de sa réelle valeur sur le marché. Mais comme, il l'affirme, l'essentiel est ailleurs... "Il n'y a pas que l'argent, il y a aussi le plaisir, et quand j'ai vu que je n'en prenais pas, j'ai demandé à partir", soutient-il.
Une deuxième recrue, les dirigeants du Stade Malherbe n'y ont même pas songé. Toujours faute de moyens. Pourtant l'ancien Malherbiste, passé par Paris, Bernard Mendy s'est entraîné de longues semaines sur les pelouses de Venoix. Mais rien n'y a fait, le club bas-normand ne pouvant répondre aux émoluments demandés.
Du côté des joueurs sur le départ, peu nombreux étaient les Malherbistes à chercher un nouveau club ou à être sollicités. Le meilleur buteur du club, Youssef El Arabi a répété à maintes reprises qu'il restait à Malherbe au moins jusqu'à la fin de la saison. Seul énigme, le jeune Hollandais Rajiv Van La Parra, peu utilisé au cours de la première partie de saison et qui souhaitait être prêté à un club de Ligue 2 pour disposer de plus de temps de jeu. A 11 jours de la fermeture officiel du marché de transfert, ça semble bien compliqué. "Maintenant si je trouve un club en Ligue 2 qui accepte de payer une partie de mon salaire, j'y vais", assure-t-il.
C'est donc à 25 que Malherbe devrait aborder les 19 matchs qu'il lui reste à jouer cette saison pour sauver sa peau en Ligue 1.
> Audio : chronique "Tendance Malherbe" diffusée le 20 janvier sur Tendance Ouest
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