Comment appréhendez-vous ce match ?
Bien, très bien. Nous sommes dans la continuité du travail fait depuis le début de la saison. Les filles sont là pour s'éclater. De Vendenheim, nous savons peu de choses. Nous savons que c'est une bonne équipe, 3e de son groupe, qui encaisse peu de buts. C'est une équipe qui a joué en D1 il n'y a pas si longtemps. Elle compte dans ses rangs une joueuse qui a joué à Amiens et qui connaît plusieurs de nos filles. Ce sera forcément un match compliqué.
Le long déplacement en Alsace va peser dans les jambes de vos joueuses...
C'est sûr qu'il faut le prendre en compte. Nous partons le samedi à 8h pour arriver le soir à 18h. Nous marcherons un peu samedi soir et ferons une balade le dimanche matin avant le match.
Le parcours en Coupe est d'ores et déjà réussi. Vos filles ont-elle l'impression de réaliser quelque chose d'historique ?
Non, elles n'en ont pas conscience dans l'immédiat. Elles se rendront compte quand tout se terminera et nous espérons que ce sera le plus tard possible. C'est lorsque nous ferons le bilan que nous nous dirons que tout ce qui a été fait, c'est beau.
Vous êtes à une victoire d'affronter Lyon, l'une des trois meilleures équipes de France. Vous en parlez entre vous ?
Nous pensons d'abord au tour qui arrive, c'est lui qui nous motive. Lyon, pour l'instant, nous n'en parlons pas. Nous avons déjà joué Issy-les-Moulineaux, équipe de D1, à Diochon, c'était super.
Sentez-vous un enthousiasme grandissant autour de votre équipe ?
Nous sentons un engouement, une dynamique. Tant mieux, cela montre le club sous un nouvel angle. Le fait d'avoir passé tous ces tours devant un public qui a vivre, avec des buts qui font vivre le stade, ça change.
Pratique. Dimanche 1er mars, 15h à Vendenheim.
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