Le Procureur adjoint Gérard Aldigé a requis vendredi la relaxe du député UMP Eric Woerth, poursuivi pour "recel" dans le procès Bettencourt, et l'entrepreneur audiovisuel Stéphane Courbit, jugé pour "abus de faiblesse", estimant "pas suffisantes" les charges à leur encontre.
Le représentant de l'accusation a rappelé qu'en juin 2013, à l'issue de l'instruction du volet "abus de faiblesse" de l'affaire Bettencourt, il avait déjà "requis un non-lieu" en faveur de MM. Woerth et Courbit ainsi que pour trois autres prévenus, l'avocat Pascal Wilhelm, le notaire Patrice Bonduelle et Alain Thurin, ex-infirmier de Liliane Bettencourt.
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