Pourquoi être parti de Turquie ?
La vie était très belle là-bas, j'avais tout ce qu'il fallait. Ce qui me dérangeait, c'était le football. Je ne prenais pas de plaisir à jouer car le style de jeu ne me convenait pas : ça court partout, il n'y a aucune tactique. Dès le mois de septembre, j'ai dit que je voulais partir. Le club a dit que c'était impossible et j'ai écouté ma femme qui m'a conseillé de rester aussi.
Pourquoi avoir resigné à Malherbe ?
Pour moi, c'était soit Caen, soit Metz. Metz, c'est particulier parce que c'est mon club formateur. À Caen, l'ambiance est super et ma femme se plaît beaucoup. J'ai eu la chance que les deux clubs me fassent une proposition. Avec les amis que j'ai ici dans le vestiaire, c'était assez simple en fait. C'est comme si je n'étais jamais parti. Des joueurs ont manifesté leur envie que je revienne ici. Certains l'ont même fait savoir au président et à Franck. Ça m'a beaucoup touché. Ici, c'est extraordinaire.
> Audio 1 : Grégory Proment témoigne de sa joie de revenir jouer pour Malherbe.
> Audio 2 : la chronique "Tendance Malherbe" diffusée le jeudi 6 janvier 2010, au sujet de Grégory Proment.
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