En vitrine, tous rivalisent d'élégance. 'En période de fête, je travaille environ deux tonnes de chocolat, précise-t-il. L'équivalent de près de 150 000 pièces !
Noir, au lait, blanc, à la noisette Le chocolat risque encore cette fois de faire fondre un bon nombre de Caennais ! En province, les gens aiment retrouver ce qu'ils ont l'habitude d'acheter chaque année. Ce qui n'empêche pas l'artisan de créer et de développer de nouveaux produits tous les ans, plus fins en saveurs ou plus subtiles en arômes.
Cette année, la nouveauté porte un nom exotique : l'arabella, savoureux mélange de miel, de gianduja, de chocolat et d'orange. Jérôme Boutel vient aussi d'inventer une pâte de fruit normande à la pomme verte. J'y verse dessus une ganache chocolat avec une base caramel, souligne ce passionné qui a dans le passé, et cela ne s'invente pas, travaillé dans un grand laboratoire suisse, le pays du chocolat. Les classiques comme l'amandine, les marrons glacés ou les mendiants ne perdent pas pour autant de leur pouvoir de séduction devant tant d'innovation.
La passion et la ténacité
La traditionnelle griotte, elle aussi, trouve toujours des palais à flatter. Mais nous ne sommes plus très nombreux à en proposer. Une griotte est trempée trois fois avant d'être prête. C'est long, note Jérôme Boutel. La ténacité du maître est bel et bien, avec la qualité des fèves utilisées, le secret d'un chocolat réussi. La cristallisation est aussi une étape primordiale avant la commercialisation. C'est une courbe de température que doit subir le chocolat avant d'être travaillé et cela permet d'atteindre ce brillant et cette texture si croquante. Le vrai délice.
Noir, au lait, blanc, à la noisette Le chocolat risque encore cette fois de faire fondre un bon nombre de Caennais ! En province, les gens aiment retrouver ce qu'ils ont l'habitude d'acheter chaque année. Ce qui n'empêche pas l'artisan de créer et de développer de nouveaux produits tous les ans, plus fins en saveurs ou plus subtiles en arômes.
Cette année, la nouveauté porte un nom exotique : l'arabella, savoureux mélange de miel, de gianduja, de chocolat et d'orange. Jérôme Boutel vient aussi d'inventer une pâte de fruit normande à la pomme verte. J'y verse dessus une ganache chocolat avec une base caramel, souligne ce passionné qui a dans le passé, et cela ne s'invente pas, travaillé dans un grand laboratoire suisse, le pays du chocolat. Les classiques comme l'amandine, les marrons glacés ou les mendiants ne perdent pas pour autant de leur pouvoir de séduction devant tant d'innovation.
La passion et la ténacité
La traditionnelle griotte, elle aussi, trouve toujours des palais à flatter. Mais nous ne sommes plus très nombreux à en proposer. Une griotte est trempée trois fois avant d'être prête. C'est long, note Jérôme Boutel. La ténacité du maître est bel et bien, avec la qualité des fèves utilisées, le secret d'un chocolat réussi. La cristallisation est aussi une étape primordiale avant la commercialisation. C'est une courbe de température que doit subir le chocolat avant d'être travaillé et cela permet d'atteindre ce brillant et cette texture si croquante. Le vrai délice.
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