Les violences urbaines ont fait 12 morts à Kinshasa de lundi à mercredi, a affirmé jeudi le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, récusant le bilan de 42 morts donné par la FIDH, qu'il accuse d'être "manipulée".
"Nous avons 12 morts, dont un policier : trois le premier jour, huit le deuxième et un hier", a déclaré M. Mende à l'AFP, "la FIDH devient de plus en plus excessive" et est "manipulée par un groupe de Congolais" en exil. Selon M. Mende, "le policier a été tué par un inconnu" et tous les autres morts sont des "émeutiers" abattus par des vigiles privés.
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