L'intersyndicale a donc décidé la levée du barrage. Ce matin, Nicolas Larose, de la CGT, n'excluait pas que le mouvement dure toute la journée. Mais devant le nombre de véhicules bloqués, les syndicats en ont décidé autrement : "Il y avait un car avec des enfants bloqués, on ne pouvait pas les garder ici", justifie Nicolas Larose.
Le syndicaliste annonce la reconduite d'une action coup de poing demain matin mais il refuse d'en donner le lieu. Les grévistes demandent, à l'échelle nationale, un recalcul de leurs rémunérations. Un calcul basé sur quatre coefficients, dont un seul aujourd'hui est situé au-dessus du SMIC.
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