Un sentiment de soulagement semble émerger après le nul de Nice...
Oui, ça fait du bien. On est convalescent. Il faut franchir des paliers, car on ne passe pas de rien à tout comme ça. Donc ça passe par des matchs comme celui de Nice, difficiles, pas forcément agréables à regarder. Aujourd'hui, chaque point est une bouffée d'oxygène. On est que dans les points et le combat, pas dans la manière. Je suis persuadé qu'on peut déclencher des choses à l'extérieur où nous semblons plus à l'aise.
Vous êtes forcément satisfait de ne pas avoir encaissé de but aussi...
Oui, mais il y avait des choses à améliorer, comme se projeter plus vite vers l'avant, mettre plus de qualité sur les coups de pied arrêtés et les centres. Mais quand vous avez des joueurs qui doutent, ça transpire un peu la peur, je ne peux pas non plus leur taper dessus. Ils ont joué avec la tête du moment et ont réussi à stopper l'hémorragie.
Comment expliquez-vous justement le manque d'efficacité sur les coups de pied arrêtés ?
On est trop naïf sur coups de pied arrêtés, à l'image du coup-franc que tire Benjamin Nivet en fin de match et sur lequel le mur niçois avance sans qu'on réagisse. L'agressivité n'est pas que défensive, elle est aussi offensive.
Le match de samedi contre Lens sera-t-il le match de la peur ?
Je pense que nos matchs à l'extérieur peuvent déclencher quelque chose, car à domicile on est timide. Dans le haut niveau, il n'y a pas que des bons côtés. Ca fait partie du métier. La faute, elle nous revient à nous. Il faut donc assumer et comprendre ses erreurs. Ce qu'on fera à Lens conditionnera notre match de Rennes (ndlr : mercredi 22 décembre). Si on arrive à faire deux matchs de suite où nous prenons des points, ça nous donnera des repères.
Oui, ça fait du bien. On est convalescent. Il faut franchir des paliers, car on ne passe pas de rien à tout comme ça. Donc ça passe par des matchs comme celui de Nice, difficiles, pas forcément agréables à regarder. Aujourd'hui, chaque point est une bouffée d'oxygène. On est que dans les points et le combat, pas dans la manière. Je suis persuadé qu'on peut déclencher des choses à l'extérieur où nous semblons plus à l'aise.
Vous êtes forcément satisfait de ne pas avoir encaissé de but aussi...
Oui, mais il y avait des choses à améliorer, comme se projeter plus vite vers l'avant, mettre plus de qualité sur les coups de pied arrêtés et les centres. Mais quand vous avez des joueurs qui doutent, ça transpire un peu la peur, je ne peux pas non plus leur taper dessus. Ils ont joué avec la tête du moment et ont réussi à stopper l'hémorragie.
Comment expliquez-vous justement le manque d'efficacité sur les coups de pied arrêtés ?
On est trop naïf sur coups de pied arrêtés, à l'image du coup-franc que tire Benjamin Nivet en fin de match et sur lequel le mur niçois avance sans qu'on réagisse. L'agressivité n'est pas que défensive, elle est aussi offensive.
Le match de samedi contre Lens sera-t-il le match de la peur ?
Je pense que nos matchs à l'extérieur peuvent déclencher quelque chose, car à domicile on est timide. Dans le haut niveau, il n'y a pas que des bons côtés. Ca fait partie du métier. La faute, elle nous revient à nous. Il faut donc assumer et comprendre ses erreurs. Ce qu'on fera à Lens conditionnera notre match de Rennes (ndlr : mercredi 22 décembre). Si on arrive à faire deux matchs de suite où nous prenons des points, ça nous donnera des repères.
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