Le maire de Champlan (Essonne), Christian Leclerc, accusé par des élus et des associations d'avoir refusé l'inhumation d'un bébé rom dans le cimetière de sa commune, a nié dimanche auprès de l'AFP avoir pris cette décision.
"A aucun moment je ne me suis opposé à cette inhumation. La mayonnaise a été montée", a-t-il déclaré. "On avait le choix (pour l'enterrement) entre Corbeil et Champlan. J'ai dit OK mercredi matin pour l'un ou l'autre des scénarios", a-t-il ajouté, estimant que sa réponse pouvait avoir été mal interprétée par les services de la ville.
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