François Hollande a annoncé le "décès" d'une des victimes de l'attaque de Nantes, mardi en marge d'un déplacement à Saint-Pierre-et-Miquelon.
Son entourage a ensuite indiqué qu'il s'agissait de la "mort clinique" d'une de ces victimes, "déjà annoncée par le procureur de Nantes", selon cette même source.
Un automobiliste a foncé lundi sur un marché de Noël bondé du centre de Nantes, blessant dix personnes avant de se porter plusieurs coups de couteau, au lendemain d'un incident similaire à Dijon.
"Les Français doivent continuer à faire ce qu'ils ont à faire, à préparer Noël et à le faire avec solidarité à l'égard des victimes puisque je viens d'apprendre qu'il y a eu un décès à Nantes et que nous devons là aussi exprimer notre solidarité à l'égard de la famille qui a aujourd'hui été frappée et à l'égard de toutes les familles des personnes blessées", a déclaré le chef de l'Etat.
Son entourage a ensuite indiqué qu'il s'agissait de la "mort clinique" d'une de ces victimes, déjà annoncée par le procureur de Nantes à certains médias.
"Nous sommes déterminés, nous sommes vigilants, nous sommes également dans l'action, dans la lutte contre le fanatisme, le terrorisme", a assuré M. Hollande.
"Même si tous les événements de ces derniers jours ne peuvent pas se rapporter à cette seule cause, il n'y a qu'un événement qui peut être regardé clairement comme un acte terroriste, c'est celui de Joué-lès-Tours, mais nous sommes pleinement dans l'action et en même temps nous voulons montrer que la vie continue", a-t-il ajouté.
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