C’est l’histoire d’une jeune femme, militante pour une production locale, qui devient maman et se retrouve confrontée à l’achat de petits pots pour bébés, fades et produits sans normes contraignantes. C’est l’histoire de Myriam Dolard, jeune infirmière seinomarine. “Il y a un dogme du petit pot industriel qui ne permet pas d’accéder au pot artisanal... et quand on est active, il est difficile de passer le week-end à éplucher des légumes.”
100 000 € nécessaires
Tiraillée entre une vie professionnelle chargée et un refus du petit pot industriel, Myriam Dolard a développé l’idée d’une coopérative associant les acteurs d’une production locale et bio. Son nom : les bébés ont du pot. L’idée d’un laboratoire pour transformer les produits non traités s’est imposée. Et à entendre la maman, la demande est importante : “J’ai mené une étude de marché auprès de 400 mères et il s’est fait ressentir un besoin d’alternative.”
À tel point que l’objectif de 200 pots fabriqués chaque jour a été revu à la hausse. Myriam Dolard, qui estime à 100 000 € les fonds nécessaires pour lancer l’opération, espère ouvrir son laboratoire pour la fin 2015.
Pratique : Nutritioninfantile.overblog.com
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