Les salariés portent des revendications salariales et dénoncent "l'austérité sans précédent pour la deuxième année consécutive". Ils demandent la réouverture des négociations salariales. Si la CGT affirme qu'il "n'y a plus de production d'hydrocarbures et d'huiles synthétiques" sur le site, un porte-parole de la direction a assuré que "le mouvement a un impact limité".
La partie raffinerie du site emploie 980 salariés.
Avec AFP.
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