2,8 mètres par 1,3 et des allures de vrai chèque : le panneau qu'a voulu remettre Valentin Fausset au Centre de finances publiques de Troarn ne manquait pas d'interpeller les passants. C'est la façon que le jeune homme de 22 ans a choisi pour payer sa taxe d'habitation de 223 euros, une façon de "contester toutes les taxes et les impôts dont nous sommes victimes, salariés comme entrepreneurs", nous a-t-il expliqué.
Raté pour cette fois : le Trésor public a fermé ses portes "subitement", et le contribuable n'a pas pu s'acquitter de sa taxe. Il y a tout juste un mois, Valentin Fausset avait déjà réglé son impôt sur le revenu en griffonnant un carton.
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