Cette association a permis d'obtenir depuis 1945 une pension pour de nombreuses personnes devenues invalides après les bombardements.
Devoir de mémoire
Jean Crocq, ancien trésorier de l'association, lui-même blessé et invalide depuis l'âge de 11 ans, entend que ces victimes de la guerre ne soient pas oubliées : “Pas de voix, pas de noms”, rappelle-t-il. A Vire, les noms des 350 civils tombés sous les bombes sont gravés sur un mausolée. A Caen, la liste des 2 000 noms est enfermée dans une capsule scellée dans un mur de l'Eglise Saint-Julien. Ces non-militaires ont participé pour certains, au prix de leur vie ou de leurs blessures, à l'effort de libération.
13 632 civils ont été tués en Basse Normandie, dont environ 8 000 dans le Calvados, 4 000 dans la Manche, et 2 000 dans l'Orne.
M. Crocq a donc entrepris, en créant un Institut de recherches sur la mémoire des populations civiles, de continuer à entretenir le devoir du souvenir.
Pratique : Siège de l'association : Château de Canteloup. Tél. 06 14 35 07 99.
Devoir de mémoire
Jean Crocq, ancien trésorier de l'association, lui-même blessé et invalide depuis l'âge de 11 ans, entend que ces victimes de la guerre ne soient pas oubliées : “Pas de voix, pas de noms”, rappelle-t-il. A Vire, les noms des 350 civils tombés sous les bombes sont gravés sur un mausolée. A Caen, la liste des 2 000 noms est enfermée dans une capsule scellée dans un mur de l'Eglise Saint-Julien. Ces non-militaires ont participé pour certains, au prix de leur vie ou de leurs blessures, à l'effort de libération.
13 632 civils ont été tués en Basse Normandie, dont environ 8 000 dans le Calvados, 4 000 dans la Manche, et 2 000 dans l'Orne.
M. Crocq a donc entrepris, en créant un Institut de recherches sur la mémoire des populations civiles, de continuer à entretenir le devoir du souvenir.
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