Les murs du Zénith de Rouen devraient vibrer d’un cri scandé à l’unisson : “Franck, Franck, Franck, Franck !”. Car oui, Franck Dubosc, l’enfant du pays, revient dans le théâtre de ses premiers exploits.
Le natif de Petit-Quevilly poursuit sa tournée de “À l’état sauvage”, son dernier one man show. Et à l’heure de revenir chez lui, en Normandie, le beau gosse à la beaufitude étudiée le concède, monter sur scène à domicile est un peu intimidant : “C’est mon terrain de jeu, le seul endroit où j’ai le trac avant de commencer.” Et pour gâter un public avec lequel il joue à “je t’aime moi non plus”, l’humoriste promet déjà de prendre “l’accent du coin”.
“J’imagine leurs vies”
Si le succès de Franck Dubosc semble déjà assuré, il ne faut pas oublier le speech du spectacle qui tient en quelques lignes : “Je pars du constat que tout m’emmerde, donc je décide de fuir sur une île déserte, tout seul... Et je me rends compte que tout m’emmerde aussi. C’est un prétexte pour parler de tout.” De tout, et souvent de n’importe quoi, du moment que l’on peut en rire.
Ses sources d’inspiration, Franck Dubosc les puise partout. Et surtout là où on ne l’attend pas : “L’idée vient rarement quand je la cherche. Je peux trouver l’inspiration à l’école, en faisant les courses... et même aux toilettes ! Je ne suis pas un grand fan d’Internet, donc je fréquente encore les bistrots, les halls de gares. Je regarde les autres et j’imagine leurs vies”. Cela donne des personnages devenus aussi célèbres que Franck Dubosc et qui l’accompagnent depuis maintenant 15 ans.
Pratique. Mardi 25 novembre, 20 h 30 au Zénith. À partir de 39 €.
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