L'opération anti-corruption est pilotée depuis Paris et le service central des courses et jeu, au sein de la police judiciaire. Le président du Stade Malherbe fait partie des dirigeants concernés par cette investigation pour "corruption active et passive dans le cadre de manifestations sportives".
Son adjoint à la sécurité, Kaddour Mokkedel est également concerné par cette interpellation. La garde à vue pourrait durer 48h au maximum selon nos informations.
Cette démarche de la police judiciaire ne traduit en aucun cas un acte de corruption de la part des dirigeants du Stade Malherbe qui ne sont à l'heure actuelle qu'entendus dans le cadre d'une enquête.
L'enquête doit déterminer si, oui ou non, le match de la saison dernière entre Caen et Nîmes – reporté pour une affaire de brouillard et qui s'était soldé le 13 mai dernier par un match nul 1-1, score qui permettait aux Gardois de se maintenir en Ligue 2 – a été arrangé entre les clubs.
D'autres responsables, notamment ceux de Nîmes bien sûr, mais aussi de Dijon et Angers, sont aussi dans le collimateur de la justice.
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