Une réponse par plusieurs mails, dont le principal, d'une page, adressé par la direction de la communication du Conseil Général (Alain Lambert est actuellement à l'étranger). Il tente de minimiser l'implication de l'élu ornais.
Ce mail explique que c'est René Garrec qui est à l'initiative de cette réunion à l’Élysée. Interrogé, l’intéressé dit ne plus se rappeler de cette réunion...
Alain Lambert explique "l’affaire intéressant le département que je présidais déjà, en plus d'être sénateur, il m'a été demandé de me joindre au rendez-vous, ce que j'ai naturellement accepté, pouvant ainsi disposer d'informations utiles sur ce sujet sur lequel je commençais a être interrogé".
Mais du côté de l’Élysée, un conseiller affirme que c'est Alain Lambert qui avait pris le rendez-vous avec un conseiller « politique », qui compte tenu du sujet, a renvoyé le trio de visiteurs vers un conseiller « environnement ».
Alain Lambert rappelle aussi sa position, estimant "qu'il ne revenait pas au Conseil Général de prendre parti (… /...) ce qui n'est visiblement pas du goût de ceux qui ont décidé de créer la polémique par tout moyen, en espérant y gagner le triomphe de leur cause . Alors on déforme des actions banales, pour inventer de supposées interventions secrètes et autres illégalités porteuses d'annulations de projets".
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