"Je voulais être professeur de français en Russie," raconte-t-elle. "Mais la vie a provoqué l'inverse !" Mariée à un Caennais, mère de deux enfants, elle s'estime désormais ambassadrice de son pays natal. " C'est aux expatriés de transmettre de belles choses et de casser les stéréotypes."
A l'image du chinois ou de la langue arabe, le russe séduit à Caen. Le collège Henri Brunet le propose en première langue vivante (LV1).
Et trois lycées offrent la possibilité de poursuivre ou de débuter son apprentissage. Ainsi, cette année au lycée Fresnel, une quarantaine d'élèves pratiquent le russe. Les polyglottes ont tous une bonne raison d'avoir fait ce choix : découvrir une culture, l'alphabet cyrillique, un pays “ouvert récemment au monde entier” ou encore “un eldorado économique”. 2010 est aussi l'année de la Russie en France.
Un véritable accélérateur pour cette langue. Les 12,13 et 14 novembre, l'université caennaise accueillera d'ailleurs le congrès national de l'Association française des Russisants.
Ecoutez son témoignage recueilli par Floriane Bléas:
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