L'information a été révélée, ce vendredi 31 octobre, par Yannick Rousselet de Greenpeace affirmant que l’organisation écologiste n’y était pour rien. Les autorités ne confirment pas l'information pour le moment.
Flamanville serait donc la huitième centrale nucléaire en France, survolée par ces drones dont l’origine reste inconnue.
Le premier survol a eu lieu le 5 octobre au-dessus du site de Creys-Malville en Isère. La majorité des vols a eu lieu dans la semaine du 13 au 20 octobre, au-dessus des centrales de Gravelines (Nord), Cattenom (Moselle), du Blayais (Gironde), du Bugey (Ain), de Chooz (Ardennes) et de Nogent-sur-Seine (Aube). "Ces survols ont été "sans conséquences sur la sûreté ni le fonctionnement des installations", selon EDF qui a déposé plainte contre ces vols de drones.
Une zone d'interdiction de survol est instaurée au-dessus de la centrale de Flamanville, un rayon de 5 kilomètres et 1 000 mètres d'altitude. Seuls des aéronefs des services de l'Etat peuvent y voler, ou ceux ayant obtenu une autorisation avec un préavis minimum de 48h. Même règle sur Areva-La Hague. Plusieurs radars sont aussi implantés sur la presqu'île du Cotentin.
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