La centrale de penly s'ajoute à la longue liste de centrales survolées par des drones tout au long du mois d'octobre. Les engins - assimilés à des drones - n'ont pas été détruits car ils ne présentaient a priori pas de danger pour la sécurité des sites.
Reste qu'EDF devrait porter plainte. En effet, aucun survol n'est autorisé dans un périmètre de 5 km et 1 000 m d'altitude autour des sites. Ces survols peuvent coûter à leurs auteurs un an d'emprisonnement et 75 000€ d'amende.
Avec AFP.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.