Entre le 1er mars 2007 et le 1er juin 2009, elle a ouvert des crédits à la consommation au nom de son concubin, et utilisé, en imitant sa signature, des formules de chèques lui appartenant. La supercherie a été découverte lorsqu'elle n'a pas pu obtenir un nouveau crédit pour rembourser les premiers.
La tentation de l'argent facile
Avec les intérêts débiteurs, la jeune femme, apprentie dans la vie, doit tout de même rembourser près de 27 000 ¤. Pour défendre sa cliente, l'avocate de la prévenue a décrit l'avalanche de publicités qui vantent les mérites des établissements de crédit grâce auxquels il est possible d'obtenir, par des formalités réduites au minimum, des prêts allant de 500 à 10 000 ¤.
Sa cliente, ayant des difficultés financières, a ensuite succombé à une “fièvre acheteuse” puis n'a pas su résister à la tentation de l'argent facile. La jeune femme de 24 ans, outre le remboursement, est condamnée à quatre mois de prison avec sursis, soit un mois de plus que les réquisitions du procureur.
La tentation de l'argent facile
Avec les intérêts débiteurs, la jeune femme, apprentie dans la vie, doit tout de même rembourser près de 27 000 ¤. Pour défendre sa cliente, l'avocate de la prévenue a décrit l'avalanche de publicités qui vantent les mérites des établissements de crédit grâce auxquels il est possible d'obtenir, par des formalités réduites au minimum, des prêts allant de 500 à 10 000 ¤.
Sa cliente, ayant des difficultés financières, a ensuite succombé à une “fièvre acheteuse” puis n'a pas su résister à la tentation de l'argent facile. La jeune femme de 24 ans, outre le remboursement, est condamnée à quatre mois de prison avec sursis, soit un mois de plus que les réquisitions du procureur.
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