Une sépulture collective.
Ici, les champs de blé alentours, cachent un étonnant monument funéraire, le plus ancien de toute la Normandie. La tombe a fait l'objet d'une restauration soignée et minutieuse. Il en résulte un site touristique original dont la mémoire, d'outre tombe, raconte une grande partie de notre histoire.
On doit sa découverte au XIXe siècle à l'archéologue Arcisse de Caumont. Les fouilles reprises dans les années 1960 permirent de mettre à nu un ensemble long d'une soixantaine de mètres, sur deux mètres et demi de haut, contenu par une série de murets montés en pierre sèche. La tombe est parfaitement visible : elle était autrefois, dit-on, recouverte d'une voûte. Les spécialistes parlent ici d'une sépulture collective sans qu'on sache vraiment qui y a été enterré. Arcisse de Caumont y avait déterré quelques ossements. Ils y étaient déposés à même le sol en position foetale et l'accès à la chambre funéraire se faisait par un étroit couloir dont l'entrée symbolisait le lien entre le monde des morts et celui des vivants, indiquent les spécialistes d'un autre âge...
C'était il y a 4 000 ans Nous sommes à l'âge de pierre, 4 000 ans avant J-C, à une époque, la dernière de la préhistoire, où apparaît l'agriculture et, avec elle, la sédentarisation des groupes et la construction des premiers villages.
Propriété depuis 1999 du conseil général du Clavados, la tombe de Colombiers est régulièrement entretenue par le service départemental d'archéologie. Ce n'est qu'un caillou mais c'est historiquement un vrai... bijou.
Ici, les champs de blé alentours, cachent un étonnant monument funéraire, le plus ancien de toute la Normandie. La tombe a fait l'objet d'une restauration soignée et minutieuse. Il en résulte un site touristique original dont la mémoire, d'outre tombe, raconte une grande partie de notre histoire.
On doit sa découverte au XIXe siècle à l'archéologue Arcisse de Caumont. Les fouilles reprises dans les années 1960 permirent de mettre à nu un ensemble long d'une soixantaine de mètres, sur deux mètres et demi de haut, contenu par une série de murets montés en pierre sèche. La tombe est parfaitement visible : elle était autrefois, dit-on, recouverte d'une voûte. Les spécialistes parlent ici d'une sépulture collective sans qu'on sache vraiment qui y a été enterré. Arcisse de Caumont y avait déterré quelques ossements. Ils y étaient déposés à même le sol en position foetale et l'accès à la chambre funéraire se faisait par un étroit couloir dont l'entrée symbolisait le lien entre le monde des morts et celui des vivants, indiquent les spécialistes d'un autre âge...
C'était il y a 4 000 ans Nous sommes à l'âge de pierre, 4 000 ans avant J-C, à une époque, la dernière de la préhistoire, où apparaît l'agriculture et, avec elle, la sédentarisation des groupes et la construction des premiers villages.
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