Le coup de filet a été opéré par la police judiciaire de Caen et l'Office central pour la répression de la traite des êtres humains.
Sept personnes sont en garde à vue depuis hier et peuvent le rester encore 48h. Parmi les suspects, il y a à la fois des prostituées d'origine nigériane mais aussi et surtout des proxénètes présumés, c'est-à-dire ceux qui récupèrent l'argent après les passes.
Le réseau ne se limiterait pas à Caen. D'autres interpellations ont eu lieu dans l’hexagone et même à l'étranger.
En avril dernier déjà, deux frères et une intermédiaire qui faisaient travailler des filles dans la capitale régionale avaient été arrêtés en Roumanie. Preuve s'il en est de l'internationalisation, même à Caen, du proxénétisme.
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