C’est parti pour quelques semaines d’entraînement, à raison de deux à trois sorties par semaine. Lorsque je cours pour la première fois 10km, je me sens pousser des ailes. Mais améliorer le chrono va s’avérer plus compliqué que prévu.
La semaine précédent la course,un gros rhume me cloue chez moi, pyjama en pilou à l’appui. Et si je n’y parvenais pas ? Le jour-J arrive bien vite. Je stresse, je ne vois plus la vie qu’en 10km. Trois heures avant le départ, je m’octroie un déjeuner draconien dans lequel le fondant au chocolat a toute sa place.
À quelques minutes du départ, c’est une très bonne ambiance qui règne entre les coureurs malgré mon stress grandissant. On plaisante, on tape des mains, on s’étire et hop, plus le temps de réfléchir, on commence à courir ! Les kilomètres s’enchaînent, je prends plaisir à trottiner.
Être encouragée par des inconnus, taper dans les mains des enfants sur le bord du trottoir... tout est fait pour que l’on réussisse notre défi.
Et finalement, on y arrive, chacun à son rythme. On se dit rendez-vous dans un an ? Oh que oui !
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