« Je serai dans le tiercé gagnant … jouez placé … c'est l'outsider qui va gagner » a plaisanté Bruno Le Maire, se voyant bien sûr dans le rôle de cet outsider. « les 29 novembre et 6 décembre, ne vous trompez pas d'élection » a-t-il exhorté les militants.
Bruno Le Maire a taclé Nicolas Sarkozy à de nombreuses reprises : « si je suis élu, je veux la transparence sur l'affaire Bygmalyon » ou encore : « moi, je veux redresser mon parti, pas le faire disparaître » :
Bruno Le Maire en campagne dans l'Orne
Bruno Le Maire s'est ensuite livré au jeu des questions/réponses avec la salle, sur le quinquennat, le mariage pour tous, l’éducation, ou encore sur la fiscalité...
Il explique que contrairement à Nicolas Sarkozy, il ne veut pas d'un grand ensemble qui incluerait l'UMP, l'UDI; C'est pour lui incompatible du fait des différences de point de vue, par exemple sur la question européenne. « Nous perdrions les élections de 2017 », prédit-il. Lui veut une UMP forte, un parti uni avec un chef qui gouverne, gagner les élections intermédiaires (cantonales et régionales), puis des primaires ouvertes à droite.
Il espère s'il est élu faire passer le nombre d'adhérents à l'UMP de 260.000 à ½ million, déplorant : « la guerre des chefs a déjà commencé entre Nicolas Sarkozy et Alain Juppé. Moi, je rassemblerai tout le monde ».
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