Les deux communes sont surprises du refus d'une implantation commerciale qui, selon leurs maires, 'ferait bénéficier l'agglomération d'une meilleure attractivité.
L'épouvantail de la concurrence
Principal argument du refus de Caen-la-mer : la peur d'une concurrence exacerbée pour la ville de Caen et nombre de ses voisines. Deux études ont été réalisées pour mesurer l'impact d'un tel pôle commercial, rappelle cependant Hélène Mialon-Burgat, le maire de Mondeville. Elles ont démontré que les inquiétudes ne sont pas fondées. Un village de marques serait plutôt complémentaire à l'offre commerciale actuelle.
Mais le bureau communautaire souhaite une maîtrise de la croissance des surfaces commerciales et met en avant la nécessité de réduction du trafic automobile en entrée de ville. De nouvelles pistes doivent maintenant être envisagées pour le futur des deux zones recalées.
L'épouvantail de la concurrence
Principal argument du refus de Caen-la-mer : la peur d'une concurrence exacerbée pour la ville de Caen et nombre de ses voisines. Deux études ont été réalisées pour mesurer l'impact d'un tel pôle commercial, rappelle cependant Hélène Mialon-Burgat, le maire de Mondeville. Elles ont démontré que les inquiétudes ne sont pas fondées. Un village de marques serait plutôt complémentaire à l'offre commerciale actuelle.
Mais le bureau communautaire souhaite une maîtrise de la croissance des surfaces commerciales et met en avant la nécessité de réduction du trafic automobile en entrée de ville. De nouvelles pistes doivent maintenant être envisagées pour le futur des deux zones recalées.
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