Depuis un an, le SPO Rouen et l'ALCL préparent un dossier de fusion pour former un grand club de l'élite dans l'agglomération et obtenir davantage de subsides de la Métropole. Mais le projet ne semble pas séduire autant que prévu les élus : "Le message que l'on a reçu de la Crea quand nous les avons rencontré la semaine dernière, c'est qu'ils ne nous donnent pas vraiment le feu vert pour plusieurs raisons : parce que la Métropole n'a pas encore de politique sportive définie ; parce qu'ils ne savent pas quels sports bénéficieront des subventions ; parce que même si le tennis de table figurait parmi ces sports, pas sûr qu'il récupèrerait davantage d'argent."
Conséquence de ce semi-échec : "Nous sommes contraints d'arrêter l'équipe de Pro B car elle nous coûte cher, entre 40 et 50 000 € et que nous ne recevons pas de subventions pour cette équipe là (seulement pour la Pro A féminine). Nous ne pouvons pas nous permettre d'avoir une danseuse." L'arrêt de l'équipe permettra au club de réduire ses déficits.
Le sort des joueurs qui formaient jusque-là l'équipe reste en suspens. Pour la plupart, ils dépendent d'un contrat de prestation qui peut les renvoyer à tout moment dans l'équipe du pays où ils jouaient jusqu'alors. Désormais, la première équipe masculine de l'ALCL évoluera en N2. Pour rappel, le championnat de Pro B reprend ce soir.
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