Elle était jugée ce jeudi après-midi 4 septembre en correctionnelle, pour avoir insulté la femme du patron des "Ateliers de Beauvais", une PME locale, en janvier 2013, lors d'une action de soutien à une salariée.
Mais son avocate a soulevé un problème de prescription sur la loi de 1881, spécifique aux questions d'insultes.
Elle a été suivie par le tribunal:
La relaxe pour la secrétaire de la CGT à Alençon
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