Ce sport, Vincent Facquet l’a découvert il y a 31 ans, au détour d’une émission télévisée. “J’ai vu la retransmission d’un match et ça m’a donné envie, explique-t-il. J’ai toujours fait du sport, et lorsque j’ai commencé le billard, j’ai vite réussi à bien jouer. Je devais être prédisposé”. Rapidement, les billes n’ont plus aucun secret pour le joueur qui amoncelle les trophées. “Le billard n’est pas uniquement ma passion, c’est mon métier”, confie-t-il.
Bientôt une école de billard ?
Et c’est essentiellement pour des sociétés d’événementiels que Vincent travaille. Des quatre modes de jeu traditionnels, ses préférés sont le “jeu de la 8” - le plus joué par les amateurs, où chaque joueur se voit attribuer sept billes et doit les placer dans la poche qu’il annonce - et le 14/1, “le plus compliqué et le plus technique”.
De la passion de Vincent est née il y a quelques années une société de vente de billard de luxe, qui n’a toutefois pas prospéré. “Je n’ai vendu qu’un seul billard aux États-Unis”. Mais le Rouennais ne se décourage pas et dispose de plus d’une flèche à son arc. “J’aimerais créer une école et amener les élèves à un haut niveau. Je leur apprendrai le calme et à maîtriser leurs émotions, des qualités nécessaires pour jouer”, explique celui qui est marié à une joueuse professionnelle. Le billard, une histoire de famille ? “J’essaye de transmettre ma passion à ma fille de quatre ans. Ce qui est sûr, c’est qu’elle saura jouer”.
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