La cap d'Antifer ainsi que la Butte du Catelier (commune de Veulettes-sur-mer) sont concernés par cet arrêté préfetoral du 6 août.
La toxine présente dans le dinophysis est peu sensible à l'action de la chaleur et n'est donc pas détruite par les traitements thermiques comme la cuisson. Les signes les plus fréquemment observés sont des diarrhées, des vomissements, des douleurs abdominales qui apparaissent dans les trente minutes ou quelques heures suivants l'ingestion de ces coquillages.
La préfecture insiste pour que chacun observe strictement cette interdiction.
La toxine contenue dans le dinophysis est peu sensible à l’action de la chaleur et n’est donc pas détruite par les traitements thermiques (cuisson) dans les préparations culinaires. Les signes les plus fréquemment observés sont des diarrhées, des vomissements, des douleurs abdominales apparaissant dans un délai de 30 minutes à quelques heures après l’ingestion des coquillages porteurs de cette toxine.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.