Il était accusé d'abus frauduleux de l'ignorance ou de la faiblesse d'une personne vulnérable. Une octogénaire viroise est restée à la tête de biens immobiliers, et d'une somme d'environ 100 000 euros au décès de son mari. Elle devait en principe être à l'abri du besoin jusqu'à la fin de ses jours. En 2005, lors de son déménagement de la maison de retraite, c'est Nathalie, 44 ans, épouse de son petit fils, Jean-Jacques, 41 ans, qui est chargée de la gestion des actifs de la grand-mère. Mais, en deux ans, du 1er janvier 2006 au 31 décembre 2008, date du dépôt de plainte des autres héritiers, les comptes 'sont dans le rouge”.
Au jour de l'audience, l'aïeule est décédée. Pour les autres héritiers, les prévenus (Nathalie, Jean-Jacques et Claude, le beau-père) ont abusé de la faiblesse de la grand-mère et ont vécu à ses crochets. L'avocate des prévenus prétend qu'il s'agissait de dons manuels, à rapporter dans le cadre d'une succession.
Le procureur a requis 18 mois de prison avec sursis pour le couple et six mois avec sursis pour Claude. Réponse du Tribunal jeudi 21 octobre prochain
Au jour de l'audience, l'aïeule est décédée. Pour les autres héritiers, les prévenus (Nathalie, Jean-Jacques et Claude, le beau-père) ont abusé de la faiblesse de la grand-mère et ont vécu à ses crochets. L'avocate des prévenus prétend qu'il s'agissait de dons manuels, à rapporter dans le cadre d'une succession.
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